Entre agronome, paysagiste, peintre de la nature, écologue, ils sont nombreux les artistes qui, ces trente dernières années, à l'instar de Gilles Clément, ont troqué le pinceau pour la binette, la palette pour l'arbuste ou la légumineuse.
A travers ces gestes, c'est toute une conception du jardinage et du paysagisme comme résistance qui s'est développée, dans le sillage de l'écologie politique.