"L'espace de notre vie n'est ni construit, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et se rassemble ? On sent confusément des fissures, des hiatus, des points de friction, on a parfois la vague impression que ça se coince quelque part, ou que ça éclate, ou que ça se cogne".
Un mercredi-curieux sous le signe de la dérive, autour du livre Espèces d'espaces de George Pérec, d'une conception de l'espace qui ne fut pas sans influence sur la démarche de nombreux artistes.