Mardi 23 août - à partir de 21h - Parc de la Bourgonnière
Ciné plein air
Spécial stop-motion
Un parc, de quoi boire et manger, un tapis pour s'asseoir dans l'herbe : vous êtes prêts pour le Ciné plein air spécial stop-motion.
Une heure de projection entièrement dédiée au stop-motion
Avec une dizaine de courts-métrages amateurs et professionnels.
Le stop-motion est une technique d’animation image par image d’objets en volume.
Les films
Rock'n Schmurtz
Film réalisé dans les parcs de Saint Herblain par la Cie La ménagerie en 2021. Dans le cadre de Ça bouge l'été dans les parcs.
L'Amérique pleure
De Raphaël Ouptier (France).
Film primé au festival Ciné-motion #2 – Supermoumouche d’Or catégorie 11-16 ans.
Mouton 16
De Lara Jaskula et Maud Jaskula (France).
Film primé au festival Ciné-motion #2 – Supermoumouche d’Or catégorie + 16 ans.
Le poids manquant
Sandra Afonso Rodriguez, Einar Soler Fernandez, Olivia Marie Valdez (Espagne).
Film primé au festival Ciné-motion #2 – Supermoumouche d’Or catégorie films étudiants.
Cobalt
De Marc Havard Duclos et Hélène Duclos
Le passage au Quai M
De Mizotte et Cabecou.
Jacotolocoto
De Thomas Secaz.
Dodo – Les poulpes
De Jean-Marc Ogier.
Dodo – Les paresseux
De Fabien Drouet.
Les liaisons foireuses
De de Chloé Alliez et Violette Delvoye.
Un temps de cochon
De Emmanuelle Gorgiard.
Rendez-vous à partir de 19h pour partager un pique-nique ou à 21h pour le début de la séance.
On enfile ses runnings le temps d'une journée marathon !
Rassurez-vous, il n'est question ici ni de stade olympien, ni de parcourir 42,195 km, mais d'un grand défi de pratiques artistiques pour tous et toutes dans les domaines des arts plastiques, de la musique, de la danse et des arts numériques.
2 endurances = 2 formules
Marathon pour ceux qui ont suffisamment de souffle pour pratiquer toute la journée.
Semi-marathon pour participer aux ateliers le matin ou l'après-midi.
Formule marathon (journée)
De 9h à 19h À partir de 16 ans
De quoi s'agit-il ?
Le marathon, c’est 2 équipes de 10 personnes qui suivent un parcours de 4 ateliers tout au long de la journée.
Au programme
théâtre d’improvisation
photographie
sérigraphie
danse
Ces parcours sont ponctués de temps collectifs d’échauffement, de ravitaillement, de débriefing et d’étirements.
Organisation
Rendez-vous dès 9h pour une mise en train collective.
Équipe A :
9h30 à 11h15 : théâtre d’improvisation avec L.A Pioche
11h15 à 13h : photographie avec Gwenola Saillard Calvez
13h à 14h15 : pause déjeuner (apportez votre pique-nique).
Conférence d'histoire de l'art • Monstres et bêtes sauvages
Avec Bertrand Charles
L’histoire de l’art regorge de bêtes plus atroces les unes que les autres. Le rôle cathartique de ces figures farouches et sanguinaires nous interroge sur notre propre sauvagerie.
Tout public.
Conférence « L’art en mots » animée par Bertrand Charles. Gratuit - Inscription à l'accueil de la Maison des Arts, par mail ou par téléphone.
Feuilles, poils, griffes. Et os et bois et nervures et vaisseaux. Sève et sang,… finissons-en avec la nature et laissons parler le vivant : ses tissages et métissages, ses pêle-mêle cul par-dessus tête qui nous ont mis debout, qui les ont fait rampants. Ceux-là piquants, ces autres glissants. Et nous au milieu ? Non, parmi !
Œuvres indomptées mais œuvres domptables. Et si le sauvage éveillait en vous ce petit quelque chose de familier… C’est le pari de cette exposition.
Vernissage mardi 13 décembre à 19h.
Visites commentées
Les mercredis de 14h30 à 15h30 ou sur rendez-vous (renseignements à l’accueil).
Mercredi 7 décembre - 18h - Maison des Arts
Conférence d'histoire de l'art • L’art sauvage de Stéphane Thidet
Avec Bertrand Charles
En 2009, lors de la deuxième édition de la biennale Estuaire, les Nantais se souviennent qu’une meute de loups avait investi les douves du Château des ducs. Il s’agissait de l’œuvre de l’artiste Stéphane Thidet, un artiste qui interroge notre rapport à la nature et au sauvage dans des installations étonnantes et déroutantes.
La meute, 2009. Stéphane Thidet.
Tout public.
Conférence « L’art en mots » animée par Bertrand Charles. Gratuit - Inscription à l'accueil de la Maison des Arts, par mail ou par téléphone.
Avec Élodie Evezard du collectif Les Têtes Renversantes
La représentation de scènes de chasse trouve son apogée au XVIIe et XVIIIe siècles. Les artistes dépeignent alors principalement des hommes aux prises avec les animaux qui peuplent les forêts occidentales : sangliers, chevreuils, faisans et autres renards restent des représentants de la nature brutale et indomptée à laquelle se confrontent les valeureux chasseurs.
Eugène Delacroix, Chasse au lion, 1855, huile sur toile, 57 x 74 cm, Stockholm, Nationalmuseum.
Au XIXe siècle, les voyages et les missions diplomatiques ouvrent la voie à un nouveau genre qui met en scène des animaux sauvages plus exotiques. Le chasseur fait désormais face aux lions, serpents, tigres et autres bêtes terrifiantes venues des quatre coins du monde.
Tout public.
Conférence animée par Élodie Evezard du collectif Les Têtes Renversantes Gratuit - Inscription à l'accueil de la Maison des Arts, par mail ou par téléphone.
À l’occasion de l’exposition Bec et ongles, venez découvrir quelques pièces de l’étrange bestiaire de l’artiste plasticienne Katarína Kúdelová.
Katarína Kúdelová
Katarina Kudelova est une artiste franco-slovaque née en 1977 à Banská Bystrica (Slovaquie centrale). Elle s'installe en France en 1996 pour suivre des études artistiques à l'École des beaux-arts d'Angers. Son travail plastique exploite la sculpture et la performance, constamment en interaction.
Comme elle le dit elle-même, son travail évoque ces paysages tantôt grouillant de vie, tantôt silencieux, couverts de neige, image de la pureté et de l'émerveillement enfantin devant un monde semblant sorti tout droit d'un conte de fée.
" Katarina Kudelova coud, colle, tresse, s’il le faut avec des barbelés, dessine, se déguise, s’apprête à faire sauter les pétards, y compris sur elle-même, sur ses compagnons ou sur ses doubles : lapin, ours, hermine, chien, saurien, mouton, chat et oisillons. Jamais à l’abri, jamais vraiment installée dans une tranquille introspection. Toujours sur le qui vive d’un territoire en sursis. (...)."
"L’écriture de l’artiste, sans jamais évoquer le fantastique ni quelque visée provocatrice, plonge ses racines dans le mystère (...)."
Jean Pierre Arnaud, novembre 2016.
L'animal l'homme
En occupant une place centrale dans son travail, l’animal entre dans la production de l’artiste, d’abord comme un parallèle à la destinée humaine. Par son côté sauvage et indomptable, il incarne l’éternelle aspiration de l’Homme à la liberté et révèle par opposition notre peur de l’inconnu, de l’irrationnel, de cette liberté pourtant convoitée.
Fortement humanisé, tel un personnage de fable, l’animal narre ici les travers et les questionnements existentiels de l’Homme.
Enfin, par la mise en scène de l’animal, l’artiste évoque les rapports de force toujours présents au sein d’un groupe : les hiérarchies entre le chasseur et le chassé, le fort et le faible, le prédateur et la proie.
Vernissage mercredi 12 octobre à 19h.
Visites commentées
Les mercredis de 14h30 à 15h30 ou sur rendez-vous (renseignements à l’accueil).
1 Faire une montagne
Feutre, laine noire, bois
2 Errer
Peau de veau en poils, polystyrène, résine,
perles de verre
3 Orava
Plumes, ventilateur
4 Prendre garde
Pétards, mousse polyuréthane, résine
5 Trophées
Fourrure, perles de verre, laiton gravé, bois
6 Promener sa colère
Peau de veau en poils, résine, verre, chaîne,
bois, roulettes
7 Chevreuil
Plumes
8
Mauvais poil
Cuir, verre, résine, papier
Hall Puisque c’est comme ça, 2019
Plumes, polystyrène, terre cuite
Mercredi 25 mai - 16h30 - Lieu Unique - Nantes
Visite d'expo • Soleils martiens
De Félicie d’Estienne d’Orves. Avec Bertrand Charles
Félicie d’Estienne d’Orves explore l’espace-temps. Son œuvre mêle lumière, sculpture et nouvelles technologies.
Éclipse, Félicie d’Estienne d’Orves.
« Nous affirmons qu’il existe une infinité de terres, une infinité de soleils et un éther infini. » — L’Infini, l’Univers et les Mondes, Giordano Bruno, 1584.
En relation avec l’astrophysique, les installations immersives de Félicie d’Estienne d’Orves révèlent l’immensité qui nous entoure. Tels les land artists américains, elle agit en pionnière et invite à nous questionner sur notre propre rapport à l’espace.
En conclusion du cycle « l’Art en mots - Jardiner le Monde », la visite de cette exposition permettra de changer d’échelle et de nourrir nos questionnements autour de l’environnement et de l’écologie.
Accès à la visite dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.
Mercredi 1 juin - de 10h à 12h30 - Jardin Reflets
Atelier • Botanique et arts plastiques
Création d’un rideau végétal et minéral
Tressage ou tissage de laine teintée aux colorants végétaux et de fleurs séchées, bouts de bois et éventuels fragments minéraux.
Dessin d'élève. Classe de Sabine Moore, enseignante-plasticienne à la Maison des Arts.
À partir de 12 ans et adultes. Avec Marion Balasakis de l’association Ecos. Gratuit - Inscription à l'accueil de la Maison des Arts, par mail ou par téléphone.
Jardin Reflets
Entre la rue de Saint-Nazaire et la rue de Charente
Mercredi 1 juin - de 10h à 12h30
Jardin Reflets – Maison des Arts
Accès au concert dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.
Du 30 mai au 29 juin - Vernissage le samedi 11 juin à 12h - Galerie
Exposition • Rideau
Exposition des travaux des élèves du département arts plastiques
« Jardiner le monde ». Une exposition de fin d'année des élèves plasticiens et un pari gagnant : et si l’art nous permettait de regarder le vivant autrement.
L’histoire commence par un jardin circulaire en plein cœur de ville, à l’arrière de la Maison des Arts. Un jardin qui aura permis de faire pousser des plantes et des idées.
Pourquoi jardiner ?
Pour embellir le monde, pour se questionner sur le vivant et donc pour créer !
Écologie, biodiversité, jardinage, … après avoir jardiné le monde, les élèves vous présentent leurs créations.
Vernissage samedi 11 juin à 12h.
Du 30 mai au 29 juin
Galerie
Vernissage samedi 11 juin à 12h
Accès au vernissage dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.